14 avril 2016

Quand la poisse rôde


Une bouteille d'eau d'1L mal bouchonnée valsant dans mon sac à dos.
Mon corps qui d'un coup se sent étrangement humide.
Interrogation. Froncement de sourcils. Panique.
La bouteille sortira complètement vide.
Le sac en cuir une piscine.
Trois fois dès l'aube de Baricco une éponge.
L'appareil photo une épave.
Je comprends trop bien. Nul besoin de rêver.
La poisse a laissé son empreinte.
Bye bye le Panasonic. Rien que ça.
La boule au ventre.

Une pause donc.
Le temps de digérer. Le temps de trouver une solution.

Les derniers clichés

4 commentaires:

  1. Je compatis... Il m'est déjà arrivé plusieurs fois d'avoir une bouteille mal fermée dans mon sac, mais heureusement, elle n'étaient jamais très remplies et les dégâts restaient limités.
    J'espère que tu trouveras une solution qui te permettra de faire à nouveau de belles photos...
    Je t'embrasse.

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    1. Merci pour ta compassion !
      Je fais toujours les mêmes erreurs…à mon âge…c'est presque gênant ;)
      Je t'embrasse

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  2. je suis désolée pour ton panasonic, et triste pour toi... Il est vraiment irrécupérable?
    C'est vraiment la poisse. Le genre de chose qui nous arrive et on aimerait bien faire un petit saut arrière dans le temps.
    Courage...

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  3.  Bonjour,

    Je me permets de vous contacter afin de vous faire savoir que ma traduction de l'arabe en français du manuscrit Colin ms 7009 déposé à la Bibliothèque Nationale de France est désormais éditée aux Editions du Net (leseditionsdunet.com). Pourquoi ce traité et pas un autre? Parce qu'il représente toutes les influences, régionales, ethniques, confessionnelles et sociales de cette culture, comme je m'en explique dans l'avant-propos, consultable gratuitement, avec la note sur la traduction et la table des matières, via le lien suivant plus bas. 
     
     C'est la première traduction intégrale en français, car il en existait deux autres; l'une en espagnol castillan  d'Ambrosio Huici Miranda et l'autre, en anglais de Charles Perry, mais elles comportaient des erreurs au niveau de la traduction des procédés et de la reconnaissance des simples utilisés. Ce qui m'a conduit - fort d'une vingtaine d'années de recherche dans le domaine culinaire arabo-andalou médiéval - à le traduire, afin de retrouver le sens du texte original et de déterminer avec exactitude les manquements de ces traductions. C'est ainsi que notes explicatives, recensement des ingrédients entre produits animaux, minéraux et végétaux, correspondances des mesures anciennes avec les modernes et liste des entreprises commercialisant  ces produits en qualité optimale, complètent la traduction proprement dite.

     Je suis assuré de l'intérêt que vous porterez à la redécouverte de cette cuisine, influencée principalement, mais pas uniquement, par la Perse et Byzance, et qui influença celles des péninsules ibérique et italienne, et de leurs îles, ainsi que la française; et que par vos talents, vous saurez vous en inspirer dans vos créations.

     Bien cordialement,

     Jean-Michel Laurent


    Lien de la page web consacrée à mon ouvrage : http://www.leseditionsdunet.com/cuisine/4153-traite-de-cuisine-arabo-andalouse-dit-anonyme-andalou--jean-michel-laurent-9782312042916.html

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